L’histoire inspirante de Soumaya Bouali a retenu l’attention du média BXL1, qui lui a consacré un article détaillé, mettant en lumière son parcours et son message fort.
Cette année, la finale au Parlement européen a réuni 400 spectateurs et a couronné Soumaya Bouali, 21 ans, étudiante en communication à l’ULB, du titre de meilleure oratrice francophone. Sans expérience préalable, elle a relevé le défi et conquis le jury avec un discours poignant sur l’importance de l’écoute de soi : « On essaie d’aller vite sans écouter son cœur. »
Face à une société où la communication se digitalise, l’art oratoire retrouve sa place grâce à des initiatives comme le concours national d’éloquence pour les jeunes. Organisé par l’association Felobel, cet événement met en avant le pouvoir des mots et la force du partage.
Un tremplin pour la confiance et l’épanouissement
Avec près de 200 participants, ce concours est plus qu’une compétition : c’est un espace d’échange et de développement. Pour Soumaya, « participer était un défi pour vaincre ma timidité. Aujourd’hui, je suis mon cœur. » En défendant ce message, elle a prouvé que la prise de parole peut être un levier puissant pour dépasser ses peurs et inspirer les autres.
Felobel : une initiative essentielle
Felobel accompagne les jeunes dans l’apprentissage de l’art oratoire, une compétence cruciale pour leur avenir. Ce type d’initiative permet de révéler des talents et d’encourager l’expression de chacun.
Encourager la prise de parole, c’est donner aux jeunes les outils pour s’affirmer et inspirer le monde qui les entoure.